Noir
Existentielle
Corps assis, bâillonné.
Le corps nerveux, bleuté.
Morte toute chaude.
Couteau émraude.
Un violent et douloureux assassinat,
Le tranchant empoisonné la fait convulser,
Le jolie sang de son corps ne peut demeurer
Rendant son charme de plus en plus froid.
Elle tombe sous l'acharnement de son bourreau
Qui la brûle, la pique et la découpe.
Bâillonnée, les fines mains contre sa croupe
Elle croule sous la douleur, cela fait trop.
Oui, oui, elle peut crier, tout est fini pour elle.
Oui, oui je savoure tout son grand potentiel.
Oui, oui je ne pourais jamais avoir peur.
Après tout il n'y a personne à cette heure,
Elle peut m'éblouir de son cri éternel,
Sa douleur est pour moi existentielle.
Vision mortel
Fermer ses yeux, entrer dans un nouveau monde
Là une vision décalée immonde.
Meurtre, suicide, c'est indéfinissable
Mais ce que je sais, c'est que c'est intenable.
C'est une petite jeune femme assise,
C'est sur ses beaux petit genoux qu'elle est mise,
Mais elle tombe la bouche ensanglantée,
A terre elle roule, très mal disséquée.
La beauté de la jeunesse, elle baigne dans
Le lac rougie chaudement par son sang.
Lamentablement de tout son long, étalée,
Flotte dans le lac rouge éparpillée.
Image noir
Les mains ensanglantées
D'un jeune condamné,
Après maintes tortures
Ces mains connaissent l'usure.
L'épave poisseuse
Immobile au 12e de la sonneuse,
Attend aveuglée
Par orbites fracassés.
Le cadavre attend
Dans son lac de sang,
Les bras arrachés
Reposent sous ses pieds.
Malgré tout
Le corps reste debout,
Pendu chaudement
De ses intestins fumants.
Ses ongles remplaçant ses dents
Devenus bijoux pour notre enfant,
Font saigner les gencives
D'une victime d'alternatives.
Assassinat
Des clous plantés dans les yeux
Du sang éclaté dans les cheveux
Des cries strident
De la bave coulant
Le sang ruisselant sur les joues
Tombant sur ce cou
Roulant sur les seins
Tâchant le lin.
Sur cette chaise sanglée
Tu invoque la pitié
Malgré le marteau impatient
Et le pieu qui attend.
Meurtre
Le sang sur mes doigts...
Les cheveux arrachés,
Ta gorge maltraitée,
L'alcool dans ton foie.
Uriner à ton visage,
Te lacérer avec rage!
Violer ton flan!
Baigner dans ton sang!
Tes cries transperçant,
Le bâillon je délaisse.
Tu te débats,
Dans tes lien froid.
Briser tes membres
Moisir dans ta chambre
Vomir sur tes plaies
Abandonner ton corps frais