Amadeus poésie

Depuis quand la satire
Mérite-t-elle de mourir
Dans un pays de liberté
Et dans l'esprit d'égalité?

Charlie a tout critiqué
Dans le but de dénoncer
Les travers du monde
Et les actes immondes.

Et arrivé aujourd'hui
Un humoriste du dessin
Dois abandonner ses mains
Où perdre là vie.

Boulet du jour, bonjour !
J'ai constaté jusqu'à ce jour
Que la connerie vous habite,
Votre tête à des fuites...

Votre humour magnifique
Vous transforme en moustique.
En termes un peu plus grossier
Vous vous amusez a faire chier.

S'il vous plait je vous en supplie
Mes chères ouaichs et pauvres abrutis,
Votre niveau est aussi bas
Que votre futal "très étroit".

Soyez un peu moins arriéré
Que la jeune aire du crétacé
Et grandissez un peu plus,
A 40 ans, bande de Jésus.

Un sourire plein d'amour
Ensoleillé comme le jour,
Celui qui réchauffe les cœurs
Et transmet du bonheur.

Ce sourire est un cadeau,
Bon en ce lieu.
(Incomparable à ceux
Qui sont parfois faux)

Rien n'est plus tendre
Que les méandres
D'un Véritable sourire
Qui se met à rire.

En parlant avec un ami
Dans les environs de minuit
J'ai trouvé l'inspiration
De ce texte à la con.

Nous sommes passé par
Des moments assez difficiles
Mais ce fut le départ
De créations plutôt fragiles.

Nous sommes heureux de façade
Par nos sourires de face
Mais le cœur lourd et maussade
Finalement une masse.

Mais ce qui a failli nous tuer
Nous a rendu plus fort
Nous savons rigoler
Grâce à l'amour et quelques efforts

Ces gens qui s'acharnent
A créer notre malheur
Au final parrainent
Des battants aux perles de sueur !

Je replonge encore une fois.
Je pensais que c'était bon,
Que je m'étais évadé du fond,
Que j'avais repris confiance en moi.

Mais je me trompe je crois,
Ce soir j'ai l'impression que
Je n'ai pas réussi ma tache,
Que c'est une vrais arnaque,
Que mes vers ne sont pas lu ici bas.

J'étais tombé au plus bas.
Je n'ai pas besoin de grand choses
Juste que tu lises mes vers, oui toi,
C'est ce qui me fais voir rose.

Mais je crois ne pas progresser,
Que le commercial vous préférez,
Que vous viviez de clicher,
Et que vous délaissiez les passionnés.