Fauve de bohème
Ma chère et tendre fauve.
Douce amour déchaînée.
Lionne inconditionnée.
Boule d'énergie mauve.
Café
Petite tasse,
Petit cadeau,
La boisson passe
Oublie des maux.
Avec sucre ou sans,
Long ou court,
Depuis bien longtemps
On le bois chaque jours.
Il est fort par son gout
Mais tendre par sa mousse,
Bien noir au gout fou,
Délicat de sa mousse rousse.
Le temps n'avance plus
Quand les lèvres le touche,
C'est alors qu'il mu,
Placé dans la bouche.
Je ne suis
Je ne suis qu'un enfant
Qui vit d'amour et de chant,
Qui ne cherche pas à réfléchir
Car mon but est de vivre.
Je ne suis qu'un homme
Qui vit au temps de la pomme
Qui ne pense qu'à toi
Car nos cœur sont les rois.
Je ne suis qu'un père
Qui vit avec une mère,
Qui ne veut que réussir
Car mes enfants doivent sourire.
Je ne suis qu'un vieillard
Qui vit pour un départ,
Qui ne pense qu'à profiter
Car mon Amour est à mes cotés.
Je ne suis qu'un mort
Qui vit quand il dort,
Qui ne veut faire souffrir
Car toute sa vie il a fait sourire.
Je ne suis qu'une âme
Qui vit pour sa femme,
Qui ne fait qu'attendre
Car les caresses, un jour se rendent.
Légende du lac
Au centre des montagnes
Une large étendu d'eau,
Naît de Grande Bretagne
Lors de l'âge du repos.
Des monstres jusqu'aux épées
Ce lac en est l'origine.
Cette eau cristal enchantée
Camouflée de collines,
Renferme les mystères
Que le monde veut percer.
Seuls de grands druides et héros
Parviennent à le trouver
Mais notre âge de jeunot
Les empêchent de guider.
Candides à Voltaire
Depuis plus de 30 ans,
Les Cunégondes et Candides,
A la guerre arrivant
Chaque jours, un peut plus frigides.
Ce moderne bâtiment,
D'il y a 30 ans,
Est séparé en deux,
La guerre rouge et l'Eldorado bleu.
Les Panglosss Enseignants
Au deux intrépides
Cunégondes et Candides,
Dans les guerres de "Tableaux Blancs".
Panglosss armés de stylos
Bombardent nombres d'intéros,
Alors notre duo
Fuient leurs bourreaux.
Panglosss isolés
Se pleins du manque de cafés,
Candides et Cunégondes
Veulent fumer leurs blondes.
Le soleil couché,
La guerre est terminée,
Les stylos sont rangés,
Au château tous sont rentrés.