Existentielle
Corps assis, bâillonné.
Le corps nerveux, bleuté.
Morte toute chaude.
Couteau émraude.
Un violent et douloureux assassinat,
Le tranchant empoisonné la fait convulser,
Le jolie sang de son corps ne peut demeurer
Rendant son charme de plus en plus froid.
Elle tombe sous l'acharnement de son bourreau
Qui la brûle, la pique et la découpe.
Bâillonnée, les fines mains contre sa croupe
Elle croule sous la douleur, cela fait trop.
Oui, oui, elle peut crier, tout est fini pour elle.
Oui, oui je savoure tout son grand potentiel.
Oui, oui je ne pourais jamais avoir peur.
Après tout il n'y a personne à cette heure,
Elle peut m'éblouir de son cri éternel,
Sa douleur est pour moi existentielle.
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